Leurres Jig

Les meilleurs leurres Jig

Leurre jig : rubber, weedless, casting et light !

Leurre jig, ils forment une très grande famille complémentaire aux leurres souples en eau douce et permettent pour les jig casting de pêcher en mer.

Cette pêche aux leurres se distingue par des formes et action de leurre de pêche reconnaissable. Les casting jigs par exemple sont des leurres en métal (plomb, zamac) aussi appelée cuiller à jigger. Compémentaire aussi aux poissons nageurs, les rubber et weedless jig sont de super leurres à sandre, brochet et perche.

Découvrons ensemble les familles de leurre jig et comment bien pêcher avec !

Famille de leurre jig : généralité sur ces leurres

Pour commencer un jig est un leurre de pêche pouvant prendre plusieurs apparences. Si l’on parle des leurres jig pour la mer on parle des modèles en plomb. Il s’agit de jig casting et de slow jig utilisés sur un plan vertical depuis un bateau.

Là aussi pour cette catégorie vous vous ferez votre avis sur les différents prix du marché des modèles en stock. Le metal jig est un leurre dédié à la pêche à jigger (jigging) qui regroupe la cuiller à jigger qui est le même leurre !

Leurre jig : rubber et weedless jig

Premièrement ces deux types de leurres se reconnaissent à leur jupe silicone. Le weedless jig à la différence du rubber, comporte une brosse carbone. Celle-ci permet une prospection ultra efficace dans les herbiers et bois noyés.

On accès ainsi au temple des plus gros carnassiers, postés dans les amas de bois. Sur ce type de leurre jig on trouve différents types de jupes silicone. Une fibre fine appelée « frog » orne les plus petites tailles de jig.

On trouve des assortiments de couleurs tête / jupe silicone tout autant que des contrastes. Le contraste entre une tête de leurre jig flashy avec une jupe naturelle est typique. Celle-ci permet dans les conditions difficiles de tirer son épingle du jeu.

C’est précisemment ce constraste de tonalité qui rend ce type de leurre jig (rubber et weedless) efficace sur les sandres.

Côté matériel on utilise indifferement casting et spinning pour bien pêcher. Pour ma part une canne finesse spinning est idéale pour les mini tailles jusqu’à 5 grammes. Sur les poids au-delà de 7 grammes un ensemble casting a ma préférence pour sa précision.

Avec un rubber jig on prospecte plus large qu’avec un weedless jig. Ce type de leurre permet une pêche plus rapide et dynamique. Dès que l’on prospecte les zones d’embâcles c’est le moment de sortir le weedless jig !

On lance au cœur de l’obstacle, conservant sa tresse semi-tendue pendant la descente. Une fois votre leurre jig sur le fond l’animation commence !

Certains jours de simple tressautement au milieu des amas de branches suffisent à déclencher l’attaque ! On relève d’une légère traction son leurre jig weedless pour le laisser redescendre. Pour finir je vous conseille de répéter l’action pour décrire une progression en dent de scie.

Jig casting : cuiller à jigger et casting jig en mer

Tout d’abord ce genre de leurre se reconnait bien à sa forme droite à élancée. Il est fabriqué dans un alliage métallique comme plomb, zamac et zinc.

Le jig casting propose une forte densité, avec un corps bien compacte, qui pulvérise les distances de lancés ! C’est un atout de choix pour la pêche les journées de vent. On a ainsi la possibilité de prospecter large pour toutes les pêches du bord ! Aucun autre leurre ne peut en dire autant !

Plusieurs tailles et poids sont disponible sur ce type de leurre jig pour s’adapter à la pêche. Le premier point à prendre en compte est distance de lancer VS profondeur.

En présence de courant on n’hésite pas à partir sur des modèles plus lourds. Ceci permet de descendre bien plus rapidement les couches d’eau si c’est la proximité du fond qui est recherché.

On distingue la pêche avec un leurre jig casting en mer qui se nomme shore jigging. L’utilisation de petit jig léger, toujours en mer, prend le nom de light jigging. Puis si c’est en bateau que l’on pratique avec des formes ovales le leurre jig prend le nom de slow jig.

Le slow jig permet une descente ralentie décisive certains jours sur les prédateurs marins. On s’adresse à la liche, sériole, denti, mérou et pagre. Il suffit de suivre la descente du leurre au sondeur pour s’arrêter à la couche d’eau désirée.

Le slow jig à ma faveur sur les carnassiers marins difficiles, souvent éduqués au jig plus rapide. Ces derniers sont la catégorie de leurre jig dit métal. Il s’agit de la première génération de jig a être apparu sur le marché.

Enfin ce type de leurre s’arme d’hameçons simple en queue et d’asisst hook en tête.

Leurre jig métal : les jigs casting pour la pêche en eau douce

Pour démarrer ce paragraphe sachez qu’en eau douce le leurre jig est incontournable ! On s’en sert de différentes façons bien que la principale soit une alternative de deux approches.

La première, la plus pratiquée, se passe sur un plan vertical sous le bateau. On positionne le bateau en dérive sur les meilleurs postes et l’on procède par relevé / relâché.

Là aussi une subtilité existe en laisser son jig casting redescendre librement ou le retenir légèrement. Prenez bien en compte que la descente la plus naturelle reste celle de ne jamais retenir votre ligne ! Tout l’art de la détection de la touche s’apprend avec le temps, surveillez toujours votre tresse à la descente !

Une autre approche qui m’a rapporté des captures de très beaux, régulièrement, est une prospection dite à gratter. Celle-ci s’apparent à une pêche à gratter au leurre souple bien plus dynamique.

On prend contact avec le fond et l’on procède par mini tractions à proximité du fond. Notez qu’en l’absence de touche ceci peut être l’indice que le choc du jig sur le fond peut apeurer les poissons. Dans ce dernier cas prenez soin de tenir semi-tendue votre tresse pour amortir ce choc.

C’est un détail qui a son importance, surtout pour la pêche des beaux sandres. Ces derniers auront vite fait d’associer cet impact sonore à un danger. Pour finir la discrétion reste de mise pour toute première approche d’un poste, pensez-y !

Leurre jig : quelle couleur de leurre choisir ?

D’abord comme pour les autres leurres un leurre jig respecte un code couleur pour chaque situation.

Par eaux claires on privilégie des teintes naturelles à neutre pour une approche discrète. Celle-ci convient bien aux eaux claires et froides de l’hiver. La transparence de l’eau ne laisse aucune place à une présentation « à peu presque ».

En contrepartie c’est lors des crues ou dans les eaux teintées qu’on sort les coloris flashy ! Un leurre jig est deux fois plus visible avec des teintes flashy dans les en crues ou sales. La notion de couleur UV n’y est pas pour rien. Je vous laisse faire votre test de passer une lampe uv sur n’importe quel leurre jig de coloris flashy !

Tous ces conseils de base sont LA bonne façon de démarrer toute pêche.

Toutefois en l’absence de touches…faites l’inverse ! De cette façon on débloque souvent les pêches « hard ».

Le leurre jig casting propose une brillance qui bat le rappel de loin. Par exemple, en eau douce, en présence d’ablette jouez au max sur cette brillance. C’est un bon moyen de jouer de mimétisme avec les « bait fish » de la zone. Ceci pour une approche naturelle.

A d’autres moments c’est une teinte hyper flashy, qui sans raison, aura le dernier mot face à de gros sandres.

Côté mer c’est un petit peu différent puisque l’on travail son leurre jig dans des profondeurs parfois importantes ! Nous le savons à une certaines profondeurs les couleurs deviennent uniquement des contrastes. Ceci veut que l’attrait d’une couleur s’affaiblie dans les fonds supérieurs à 40 mètres.

Dans ce genre de cas pensez vibration qui est plus déterminante que le coloris lui-même !

Enfin trouver la bonne couleur est un plus, mais c’est les vibrations et mécanique du leurre jig qui concrétise l’attaque !

Pêche en mer au leurre jig : le jigging !

Premièrement c’est de la pêche en mer qu’est issu le leurre jig casting. On le trouve en petite taille adaptée pour la pêche en eau douce mais c’est les besoins de pêche en mer qui l’on vu naitre.

Pour réussir sa pêche en mer avec un leurre jig on concentre par définir le carnassier recherché. Sériole, liche et bonite se situent de la première couche d’eau jusqu’à la médiane. On entreprend souvent plus du lancé ramené que de la pêche à jigger à proprement.

Pour la traque de poissons de fond comme denti, mérou, pagre et récemment pageot on pêche différent. On laisse descendre son jig jusqu’au contact avec le fond. Dans cette phase je vous invite à rester hyper concentré sur l’écoute d’une touche juste avant l’impact avec le fond.

En effet pour pagre et denti c’est souvent à l’arrivée du leurre jig que l’attaque se produit. On anime son leurre jig par récupération alternative à des tirées de la canne. Ceci fait « jerker » le leurre du fond vers la surface en traversant les couches d’eau.

C’est la parfaite reproduction d’un petit poisson remontant vers la surface comme « chassé » par un prédateur.

De cette façon il n’est pas rare dans des fonds de 60 mètres d’enregistrer l’attaquer plus de 20 mètres au-dessus du fond. Le carnassier approche du jig à son contact avec le fond et remonte la colonne d’eau pour passer à l’attaque !

Côté armement le jig est soumis à de nombreux chocs provoquant des accrochages sur les obstacles. Les meilleurs zones sont souvent épaves, cassures et autres structures sous-marine.

Pour cette raison le meilleur armement à offrir à votre leurre jig reste l’asisst hook !

Enfin pensez à vérifier de temps à autre l’affutage de vos hameçons surtout en cas de décrochage !